Nolianor se remit en selle et suivit les empruntes qui le conduisirent jusqu’au sommet d’où il pouvait distinguer dans le lointain, au delà d’un marais s’étendant jusqu’à l’horizon, la silhouette vague et sombre d’une forêt de cèdres.
Enfants de l’Origine – T.1 « La Perle de Ventelrude » (p.269)
Laisser un commentaire